La misère supplémentaire des gens (comme moi) qui ne parlent jamais par allusion (parce qu'ils en sont incapables, qu'ils n'ont même pas le « réflexe allusion », réflexe qui leur simplifierait tellement la vie, leur permettrait à tant d'occasions de se faire comprendre enfin) c'est le nombre (affolant, et je trouve même : étrangement élevé) de leurs propos que les autres interprètent, au bénéfice de l'incompréhension mutuelle, comme des allusions !
Classé dans : Causeries | 2009