The Host of the Air 


Poème de Yeats :

O'Driscoll drove with a song
The wild duck and the drake
From the tall and the tufted reeds
Of the drear Hart Lake.
[suite...]
Mise en ligne : vendredi 24 mai 2013, 20:46
Classé dans : Musicage
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Le Froid (poème de Ariel Marinie) 


N'allez donc point dehors ma mie
le froid est venu cette nuit
avec la neige du ciel gris [suite...]
Mise en ligne : vendredi 8 février 2013, 17:07
Classé dans : Musicage
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Le temps passe... 
Le temps passe
Si on pouvait le regarder le temps qui passe
Mais hélas
Avec on passe.
Mise en ligne : lundi 24 décembre 2012, 15:23
Classé dans : Chimère
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Perfect Day 
Ce n'était qu'un jour d'été
Je t'avais apporté des roses
Rien de plus qu'un jour d'été
mais où nous nous apprîmes
des choses

Rien qu'un jour d'été
qu'une glace au Jardin des Plantes
et que nos deux ombres dans le soir qui rentrent
chez soi

Rien qu'un jour d'été
rien que toi et moi
Nous allâmes au cinéma
et puis
chacun chez soi

Et je t'ai dit [suite...]
Mise en ligne : dimanche 9 décembre 2012, 18:34
Classé dans : 1991  |  Traduction
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J'ai trouvé mon Béarn (Toulet) 

Mise en ligne : vendredi 7 septembre 2012, 20:05
Classé dans : Vocalisation
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Traduit d'Alejandra Pizarnik 
Dehors il y a du soleil.
Ce n'est rien qu'un soleil
mais les humains le regardent
et après ça ils chantent

Je ne sais pas du soleil.
Je sais la mélodie de l'ange
et le sermon brûlant
de l'ultime vent.
Je sais crier jusqu'à l'aube
quand la mort s'allonge dénudée
sur mon ombre.

Je pleure en dessous de mon nom.
J'agite des mouchoirs dans la nuit et des bateaux assoiffés de réel dansent avec moi.
J'occulte des clous
pour bafouer mes rêves malades.

Dehors il y a du soleil.
Je me vêts de cendre.
Mise en ligne : samedi 1 septembre 2012, 12:40
Classé dans : Traduction
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Poème retrouvé de P.-V. T. 
Que nous pensions de choses pures :
      Deux, le long des chemins,
Côte à côte et mains dans les mains
      Parmi les fleurs obscures,

Et marchant tels deux fiancés,
      Dans la nuit des prairies,
Partageant ce fruit de féeries,
      L'Amie aux insensés...

Et puis, nous nous sûmes mourant,
      Très loin, dessus la mousse,
Tout seuls parmi l’ombre si douce
      De ce bois murmurant ;

Et tout là-haut, dans une immense
      Lumière, nous nous sommes
Vus en pleurant, cher qui me nommes
      Compaing de ton Silence !
[suite...]
Mise en ligne : dimanche 19 août 2012, 07:54
Classé dans : Chimère
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L'immortelle et l'oeillet de mer... (Toulet) 

Mise en ligne : jeudi 9 août 2012, 10:36
Classé dans : Vocalisation
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Cople inachevé manqué 
La mer
étincelait ainsi qu’une gitane
sous ses volants d’azur où scintille le fer ;
et tu m’as dit :
« Que je suis lasse de la mer...
Mise en ligne : jeudi 19 juillet 2012, 14:42
Classé dans : Recyclages
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