Bah... parions que m'arrivera sous peu, en remplacement des mille-z-illusions qui les firent naitre, une chimère d'un genre différent qui mettra enfin fin à mes minimes mais taraudantes souffrances.
rien que d’y penser
m’épuise
Oui
Il faut se détendre ! me dit mon voisin de gauche
Il faut te maîtriser ; me redit mon voisin de droite
Il faut être libre... souffre le vent dellière moi
Il faut aller vers l'autre, insinue l'obstacle
Il faudrait surtout se débarrasser
de ses emmerdeurs
me contente
je
de penser
Il faut te maîtriser ; me redit mon voisin de droite
Il faut être libre... souffre le vent dellière moi
Il faut aller vers l'autre, insinue l'obstacle
Il faudrait surtout se débarrasser
de ses emmerdeurs
me contente
je
de penser
Mise en ligne : jeudi 23 août 2012, 16:06
Classé dans : 2012 | Un schizoïde parade
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Voilà que tu es devenu vieux
et qu'est tombée leur nuit.
Des soirs, tu aimes à flâner ;
tu vas jusqu'au Quick.
Toujours beaucoup de noirs par là...
Las d'avoir longtemps ramé,
tu rêves que tu es arrivé en Am-
érique
[suite...]
et qu'est tombée leur nuit.
Des soirs, tu aimes à flâner ;
tu vas jusqu'au Quick.
Toujours beaucoup de noirs par là...
Las d'avoir longtemps ramé,
tu rêves que tu es arrivé en Am-
érique
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Mise en ligne : mardi 21 août 2012, 11:04
Classé dans : 2000 | Singes sous la pluie | Chantier
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le chien se fait vieux
sa chaîne complètement rouillée
le matin est clair
sa chaîne complètement rouillée
le matin est clair
Mise en ligne : mardi 21 août 2012, 10:28
Classé dans : Singes sous la pluie | 2001
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c'était un été
le grand-père s'était acheté
une mobylette
le grand-père s'était acheté
une mobylette
De l'« homme fou » à l'homme fou vrai, le chemin ne passe pas par Michel Foucault.
Mise en ligne : dimanche 19 août 2012, 10:01
Classé dans : Un schizoïde parade | 2012
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Que nous pensions de choses pures :
Deux, le long des chemins,
Côte à côte et mains dans les mains
Parmi les fleurs obscures,
Et marchant tels deux fiancés,
Dans la nuit des prairies,
Partageant ce fruit de féeries,
L'Amie aux insensés...
Et puis, nous nous sûmes mourant,
Très loin, dessus la mousse,
Tout seuls parmi l’ombre si douce
De ce bois murmurant ;
Et tout là-haut, dans une immense
Lumière, nous nous sommes
Vus en pleurant, cher qui me nommes
Compaing de ton Silence !
[suite...]
Deux, le long des chemins,
Côte à côte et mains dans les mains
Parmi les fleurs obscures,
Et marchant tels deux fiancés,
Dans la nuit des prairies,
Partageant ce fruit de féeries,
L'Amie aux insensés...
Et puis, nous nous sûmes mourant,
Très loin, dessus la mousse,
Tout seuls parmi l’ombre si douce
De ce bois murmurant ;
Et tout là-haut, dans une immense
Lumière, nous nous sommes
Vus en pleurant, cher qui me nommes
Compaing de ton Silence !
[suite...]
Voici le poème des amoureux qui s'embrassent et des amants qui s'embarrassent. Des amoureux qui s'embrassent de leurs yeux et des amants qui s'embarrassent de leur nœuds.
C'est le poème où je saute en paragraphe (comprendre : « je saute en parachute », mais avec « graphe » à la place de « chute » pour faire un jeu de mots). [suite...]
C'est le poème où je saute en paragraphe (comprendre : « je saute en parachute », mais avec « graphe » à la place de « chute » pour faire un jeu de mots). [suite...]
Classé dans : 2012 | Causeries
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